A l’origine, la tribune de la journaliste était dédiée à l’interdiction par la Cour constitutionnelle espagnole de la taxe digitale servant à financer le secteur audiovisuel catalan. La journaliste a donc fait un parallèle entre le retrait de cette taxe et la situation des homosexuels au Maroc.
« Etre Catalan en Espagne, c’est comme être gay au Maroc, toute proportion gardée », a-t-elle écrit, faisant référence aux droits bafoués, selon elle, des Catalans en Espagne mais aussi par les homosexuels au Maroc.
Pour les associations LGBT, le discours de la journaliste tend à banaliser la situation catastrophique des homosexuels au Maroc. D’autres lui reprochent également de choisir mal ses exemples pour défendre sa cause, celle se rapportant au combat des indépendantistes catalans.