La cellule composée de quatre personnes avaient émis une fatwa pour justifier leur acte, conformément aux méthodes du groupe terroriste "Daech", auquel elle a fait allégeance.
Les suspects adhérant totalement à l’agenda terroriste du pseudo état islamique, "avaient pour projets de commettre de graves crimes terroristes sur le territoire marocain.
D’après le BCIJ, le chef de cette cellule avait des connaissances poussées dans fabrication d’explosifs. Il a selon la même source expérimenté des "substances fortement explosives", que le groupuscule comptait utiliser pour s’attaquer à des cibles sensibles au Maroc.
Le cerveau de cette cellule entretenait des liens solides avec l’un des dirigeants de la nébuleuse terroriste "Daech". Les suspects seront jugés dès la fin de l’enquête menée par le parquet général compétent.