Mardi a été célébré le deuxième anniversaire de la reprise des relations entre le Maroc et Israël. Une occasion pour Alona Fisher-Kamm, cheffe par intérim du bureau de liaison de Tel-Aviv à Rabat, de faire le bilan de ce rapprochement.
L’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire a annoncé samedi la suspension de toutes les activités du contingent marocain basé à Bouaké, suite aux allégations d’exploitation et d’abus sexuels.
La décision a été prise vendredi par le siège des Nations Unies en raison de la gravité des allégations et à la suite d’une enquête menée par l’ONUCI. La mesure est conforme à la politique de tolérance zéro de l’ONU en ce qui concerne l’exploitation et les abus sexuels.
Dans le même cadre, toutes les troupes marocaines sont cantonnées dans leurs bases et le Bureau du contrôle interne de l’ONU basé à New York est actuellement en train d’approfondir l’enquête, en attendant les décisions appropriées à prendre.
Fort de 732 militaires, le contingent marocain est le deuxième plus grand après celui du Bangladesh au sein de la force de l’ONUCI, qui surveille le processus de paix en Côte d’Ivoire, divisée en deux suite à un coup d’Etat raté en septembre 2002.
Ces articles devraient vous intéresser :