Cette réaction fait suite à la menace d’Alger, accusant le Royaume d’avoir visé un convoi de ressortissants algériens au Sahara. Lors d’un point de presse d’Eric Kaneko, porte-parole de l’organisation, a déclaré qu’« Antonio Guterres est « conscient de la situation […] et exhorte au dialogue pour s’assurer que ces tensions seront baissées ».
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Et d’ajouter qu’« il n’est pas au courant si le message a été transmis directement aux deux parties », relevant qu’il a été communiqué à travers les « divers canaux à différents niveaux ».
Dans le même sillage, Kaneko a indiqué que le nouvel Envoyé spécial pour la région du Sahara a pris ses fonctions, attendant « de voir comment il compte améliorer l’état des relations entre les deux pays ».