Dans un communiqué, le bureau régional de la LMDDH a déclaré que "ses habitants vivent dans des conditions de vie tragiques, en particulier dans les zones rurales, où les droits les plus élémentaires font défaut, en particulier le droit à des soins médicaux. Et le traitement". À l’en croire, la plupart des dispensaires du village sont fermés. De même, elle évoque "un échec des ambulances de groupe à remplir leurs fonctions de transport des blessés pendant la nuit".
Le bureau de la LMDDH dénonce par ailleurs la mauvaise structure d’accueil au niveau des hôpitaux régionaux, "seul établissement de santé de la région spécialisé dans l’accueil des victimes de scorpions de différents groupes de la région et de ses environs". Le service de réanimation de l’hôpital régional de Sraghna n’a que 10 lits, fait savoir Alyaoum24.