La jeune femme, sous le coupe d’une interdiction d’approcher la victime pendant deux ans, risquait une peine de 9 mois de prison pour avoir agressée son ex compagnon qui s’apprêtait à rentrer chez lui au quartier Juan XXIII, à Sebta, le 24 janvier 2009.
La femme n’ayant pas supporté que son ex compagnon l’abandonne après dix ans de vie commune, ce qui signifiait pour elle qu’elle ne pourrait pas régulariser sa situation à Sebta, aurait menacé l’homme pour obtenir la garde de sa fille.
La défense de la mise en cause, qui a démenti les allégations du plaignant, a imputé l’absence de leur cliente au fait qu’elle était interdite d’entrée à Sebta.