Une vingtaine de parlementaires marocains sont dans le collimateur de la justice. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux, abus de pouvoir, dilapidation et détournement de fonds publics.
Zoubida Aït Sirahal, une Marocaine installée en France, a décidé d’observer un sit-in tous les vendredi, de 16 heures à 19 heures, devant l’ambassade du Maroc à Paris en protestation contre "l’impunité qui touche les policiers marocains responsables de la mort de son mari, décédé le 25 juillet 2002".
"J’ai vu de mes propres yeux la police soulever mon mari menotté et le jeter contre le mur du commissariat de Marrakech", a-t-elle dit. L’affaire, devant le tribunal de la ville ocre, a été reportée 15 fois.
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