Le député Kamal Ait Mik, membre du groupe parlementaire du Rassemblement national des indépendants (RNI) à la Chambre des conseillers, a relevé des erreurs dans l’écriture des mots amazighs sur les panneaux de signalisation routière.
Une source sérieuse travaillant au sein d’une ONG nipponne présente depuis quelques années autour du Toubkal affirme qu’un groupe japonais vient de soumettre une proposition audacieuse au gouvernement marocain : la construction d’une autoroute suspendue reliant la ville de Marrakech à l’Ourika et à l’Oukaïemden.
Le groupe s’engage à mettre en œuvre les dernières technologies de suspension autoroutière par le biais de supports métalliques. Respectueuse de l’environnement, cette technologie ménage les montagnes et ne recourt guère à leur dynamitage. En contre-partie, les Japonais demandent deux avantages : une longue concession d’exploitation à définir et l’exclusivité du transport touristique pour l’une de ses filiales du groupe.
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