Ces individus, membres d’un réseau criminel, sont, selon le communiqué diffusé par le ministère de l’Intérieur, adeptes d’idées extrémistes et coupables d’agressions envers les citoyens. Ils sont impliqués dans des actes criminels à l’aide de bâtons, d’armes blanches et de cagoules.
Actuellement en garde à vue, ils seront déférés devant la justice dès la fin de l’enquête, ajoute le communiqué.
Au Maroc, on s’inquiète de voir la région du nord du pays devenir un terreau d’extrémistes. Les membres de la plupart des réseaux démantelés ces derniers mois dans le Royaume provenaient de cette région.
Il y a quelques semaines, un homme avait reçu 80 coups de fouet par une milice du vice à Beni Makada, un quartier populaire de la ville de Tanger. L’homme, apparemment bien alcoolisé, est arrivé dans un état très grave à l’hôpital.