Treize personnes ont été arrêtées par le Bureau Central d’Investigations Judiciaires (BCIJ), jeudi dernier. Soupçonnés d’être partisans de l’organisation terroriste « État islamique », les individus ont été arrêtés lors d’opérations menées dans...
Bernard Cazeneuve, ministre français de l’Intérieur, a annoncé la mise en place d’un numéro vert dans le cadre de son plan de lutte contre les filières djihadistes. Et pour mieux combattre ce phénomène, il compte sur l’appui du Maroc et plusieurs autres pays.
Selon le journal français Libération : « Le numéro vert, le 0 800 005 696, « a été activé mardi », a déclaré le ministre sur la chaîne publique France 2. Son objectif est « qu’un dispositif soit mobilisé » pour « éviter qu’un départ se produise quand des familles sentent » que l’un des leurs est « en train de basculer ».« C’est un problème européen », a déclaré Cazeneuve, qui s’est rendu dans l’après-midi à Londres pour une rencontre avec ses homologues britannique, belge et allemand ».
Cette réunion avait pour objectif « de discuter ensemble, pour aller plus loin dans le démantèlement de ces filières ».
Toujours selon la même source : « Cette réunion avait aussi pour objet de « préparer celle du 8 mai à Bruxelles. Nous devons renforcer la coopération entre les pays de l’UE mais aussi avec le Maroc, la Jordanie, la Tunisie ou encore la Turquie », a-t-il insisté.
En France, on estime à plusieurs centaines de personnes qui ont pris le chemin de la Syrie pour participer, disent-ils, au à la fin du régime de Bahar Al Assad et l’instauration d’un État islamique. Et parmi eux, on retrouve des femmes, parfois même très jeunes.
En janvier dernier, le cas de Nora, une jeune lycéenne d’origine marocaine avait ému l’opinion publique. Âgée d’à peine 15 ans, elle était partie en Syrie après avoir pris un billet d’avion pour la Turquie. Plus tard, elle appellera au téléphone pour dire à sa famille qu’elle venait de se marier...
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