Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères marocain appelle les « forces vives du pays et ses autorités à œuvrer dans le sens d’une solution de compromis qui préserve l’intégrité territoriale, l’unité nationale du Mali et répond aux aspirations de ses populations, y compris celles du nord du pays », déplorant que le dossier soit traité par « des parties directement intéressées, et loin de son contexte légal et régional, prôné par les Nations Unies. »
Le ministère qui parle de menaces et des manœuvres d’intimidations ou de chantage par des parties qui n’ont aucune légitimité à le faire, juge qu’aucune solution ne peut être imposée au Mali, pays qui ne doit pas être traité comme une « arrière-cour privée ».