Selon la décision rendue par la justice et rapportée par un journal local, Najim S. « n’a employé ni violence, ni force, ni intimidation » le 29 septembre 2012 à l’encontre de cette adolescente âgée de 16 ans.
La jeune fille avait déclaré aux enquêteurs que le Marocain, qu’elle avait déjà aperçu à plusieurs reprises dans la commune, l’avait convaincue à sortir de chez elle pour voir des téléphones mobiles avant de fermer la porte et de l’empêcher de sortir.
Il l’aurait, toujours d’après la présumée victime, violée ce jour là. « Je n’ai pas compris ce qui m’arrivait, tout ce que je sais c’est que je ne voulais pas que ça m’arrive », a expliqué la jeune femme, aujourd’hui âgée de 19 ans, au tribunal.
Le jeune Marocain reconnaît que ce jour là, ils se sont caressés et embrassés et qu’il ont agi comme « un couple normal », par contre à aucun moment il ne l’a forcée.
La cour a estimé que Najim n’a jamais violenté, ni menacé et l’adolescente, quant à elle, n’a jamais parlé de violences devant la police. L’enquête a même révélé que les deux jeunes se connaissaient bien avant les faits et qu’ils s’étaient parlés sur les réseaux sociaux.