Le scandale de corruption qui secoue le Parlement européen continue de livrer ses secrets. Le Maroc est, lui, aussi soupçonné d’avoir sollicité des eurodéputés pour qu’ils interviennent en sa faveur notamment sur la question du Sahara.
Le Polisario a menacé fin de semaine dernière de porter les armes contre le Maroc, en raison de ce que le mouvement appelle "l’impasse" dans laquelle se trouvent les négociations autour du Sahara.
Mohamed Amine Bouhalli, "ministre" de la défense du Polisario, a déclaré samedi au quotidien algérien Al Khabar, que le Maroc bloquait le processus de négociations pour un règlement définitif du conflit du Sahara.
Bouhalli a affirmé au quotidien algérien qu’à ce jour aucune autre alternative ne sera acceptée par le Polisario, en dehors de la guerre ou l’indépendance, ajoutant que le choix "de lever les armes ou non" sera adopté après la prochaine assemblée générale du Polisario.
Malgré ces menaces, le Maroc et le Polisario participent depuis lundi matin et pour trois jours à des rencontres informelles sur l’île de Malte.
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