En Flandre, le couperet est tombé pour près de 500 locataires sociaux, dont des Marocains, qui, en l’espace de trois ans, ont été démasqués comme propriétaires de biens immobiliers à l’étranger. Un chiffre qui représente plus de la moitié des cas contrôlés et qui met en lumière un système frauduleux aux ramifications internationales.