C’est ce qu’il a répondu à une question orale posée lors de la séance mensuelle à la Chambre des représentants. Le ministre se donne deux ans pour mener à bien cette opération qu’il évalue à environ 5 milliards de dirhams d’ici 2019.
Après avoir permis aux enseignants du public la possibilité de donner des cours dans le privé, Hassad a reconnu que l’Éducation nationale va impliquer davantage le secteur privé car « les besoins du système l’imposent ».
Justement, le ministre a rappelé que 450 écoles privées ayant été contrôlées l’année dernière se sont révélées « défaillantes ». « Il y a du bon comme du mauvais. Notre rôle est d’accompagner justement ces écoles qui doivent faire plus d’efforts pour offrir une formation de qualité », a-t-il fait valoir.