L’affaire Rachid M’Barki du nom de l’ex-présentateur franco-marocain du journal de la nuit de BFMTV, mis en examen pour « corruption passive » et « abus de confiance » n’a pas fini de livrer tous ses secrets.
Les autorités marocaines comptent recourir aux écoutes téléphoniques pour traquer les fraudeurs aux élections lors du prochain scrutin communal prévu en septembre.
C’est le Bureau central d’investigation judiciaire (BCIJ) qui sera chargé des opérations d’écoutes téléphoniques et de communications à distance révélant les cas de fraude aux élections, rapporte le quotidien Al Akhbar.
Ces écoutes permettront de détecter la corruption électorale tout au long des étapes des campagnes des premières élections communales depuis l’adoption de la nouvelle Constitution de 2011.
Selon le journal, Abdellatif Hammouchi, patron de la Direction Générale de la Sécurité Territoriale (DGST) dont relève le BCIJ, et directeur de la DGSN, aurait donné ses instructions à ce propos pour détecter les cas de fraude aux élections.
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