Depuis que l’amélioration de la situation épidémiologique au Maroc a entraîné l’assouplissement des mesures restrictives, la vie a repris dans les tribunaux avec une hausse considérable du nombre de plaintes, procès et affaires pénales.
Le procureur général d’Alicante au sud de l’Espagne a libéré un Grec et un Italien fin de semaine dernière. Ils avaient été arrêtés pour coups et blessures ayant entraîné la mort d’un Marocain originaire de Salé.
Le rapport du médecin légiste, dont le quotidien marocain Assabah dispose d’une copie, ne fait aucune mention des coups et blessures et aurait considéré que la mort du Marocain était due à une hémorragie causée par un accident, sans donner plus de détails.
L’agression aurait été commanditée par un puissant homme d’affaires espagnol connu pour ses tendances racistes et possédant un café de standing dans la ville d’Alicante.
La victime avait protesté parce qu’elle avait été interdite d’entrer dans ce même établissement dont les gardiens l’auraient ensuite battu à mort.
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