Une vingtaine de parlementaires marocains sont dans le collimateur de la justice. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux, abus de pouvoir, dilapidation et détournement de fonds publics.
Amnesty international a publié cette semaine son rapport annuel sur la situation des droits de l’homme dans le monde, et le relevé de notes de l’élève Maroc n’est pas brillant.
La synthèse de l’organisation londonienne mentionne plusieurs allégations de torture, en plus des habituels paragraphes consacrés aux abus des forces de sécurité au Sahara, les restrictions et vexations imposées aux militants d’Al Adl Wal Ihsane, et les mauvais traitements contre les migrants subsahariens.
Le nouveau dans le cru 2008 est à chercher du côté des atteintes à la liberté de la presse, et les condamnations de six (déclarés ou supposés) homosexuels de Ksar El Kébir à des peines de prison ferme.
Source : TelQuel
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