Mardi a été célébré le deuxième anniversaire de la reprise des relations entre le Maroc et Israël. Une occasion pour Alona Fisher-Kamm, cheffe par intérim du bureau de liaison de Tel-Aviv à Rabat, de faire le bilan de ce rapprochement.
Le Maroc et la France ont signé, mercredi à Rabat, trois protocoles pour le financement de projets approuvés dans le cadre du programme d’accompagnement du processus de décentralisation marocain.
Le premier projet concerne la ville de Rabat et la communauté urbaine du Grand Lyon et porte sur l’appui au renforcement durable des capacités de maîtrise d’ouvrage de la ville de Rabat en matière de déplacements et transports publics urbains.
Le second projet est relatif au réseau d’échange pour la mise en valeur du patrimoine entre la ville de Roman-sur-Isère et Taroudant. Et le troisième intéressant la ville de Rabat et la ville de Mantes la Jolie est relatif au renforcement des capacités de la ville de Rabat en matière de gestion publique et de développement local.
L’originalité du projet PAD Maroc réside dans son soutien exclusif aux projets et programmes de coopération décentralisée qui induisent un renforcement des capacités de maîtrise d’ouvrage de la collectivité locale
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La mise en oeuvre du projet PAD Maroc a confirmé la cohérence d’ensemble de ce programme d’accompagnement qui concerne trois niveaux essentiels du processus de décentralisation en l’occurrence le cadre institutionnel des relations entre l’Etat et les collectivités locales, la formation des élus et des cadres des collectivités locales et les capacités des collectivités locales à exercer les attributions qui leur sont dévolues.
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