Près de 20 chefs de cercle, de caïds et des pachas ont été sanctionnés par l’autorité de tutelle. Selon Assabah, les raisons de cette sanction diffèrent d’un responsable à un autre. Leurs noms seront communiqués dès que la liste des sanctions sera bouclée. Si six agents d’autorité ont écopé d’avertissement, d’autres pourront être mis à l’écart, suspendus de leurs fonctions, rétrogradés ou blâmés.
Selon le même quotidien qui cite une source du ministère, il ne s’agit pas d’un règlement de comptes, comme le font croire certaines personnes, mais plutôt d’une opération régie par la constitution. Ces sanctions visent surtout à rationaliser les ressources humaines du ministère de l’Intérieur et assurer plus d’efficience dans l’accomplissement de la mission des agents d’autorité. Elle s’inscrit dans la nouvelle politique du ministère de l’Intérieur, basée sur le travail sérieux et le changement.