La production de l’hydrogène vert dans la région de Dakhla et son utilisation pour le dessalement de l’eau de mer, permettront au Maroc d’atteindre l’autosuffisance alimentaire. C’est ce que révèle une étude menée par des chercheurs marocains.
Depuis mardi, Rabat tourne au rythme d’un accident nucléaire. La capitale marocaine accueille en effet un exercice de lutte contre un éventuel incident nucléaire.
L’objectif de cet exercice baptisé tout simplement "Rabat 2011", est de renforcer la lutte contre le trafic de matières radioactives dans le pays.
L’entrainement, qui se poursuivra jusqu’au 25 mars, rassemble toutes les institutions de la défense marocaine (FAR, Gendarmerie etc.) en plus du ministère de l’Énergie et du Centre national de radioprotection.
La peur de l’incident nucléaire, qui s’étale à grande vitesse dans le monde en raison du risque que représente la centrale de Fukushima au Japon, semble donc prendre le Maroc. Pourtant, le pays, peu avancé en terme de nucléaire, ne dispose que d’un petit réacteur nucléaire de 2 Mégawatts à 25 kilomètres de Rabat.
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