Omar Radi : Amnesty International demande un nouveau procès
Au lendemain de la condamnation à six ans de prison du journaliste marocain Omar Radi pour viol et espionnage, Amna Guellali, directrice régionale adjointe pour l’Afrique du...
Aucune preuve qui étaye les allégations. C’est la position du gouvernement marocain qui se dit être toujours dans l’attente d’éléments scientifiques et concrets qui démontrent les graves accusations à l’encontre du Maroc dans le dossier « Omar Radi ».
Le gouvernement marocain a estimé que la réponse d’Amnesty international (AI)au sujet du journaliste Omar Radi n’est pas convaincante suite à ces réclamations.
Après les accusations infondées d’Amnesty international, le gouvernement maintient toujours ces exigences. L’exécutif exige que cette organisation non gouvernementale internationale qui promeut la défense des droits de l’homme lui fasse parvenir une copie du rapport de l’expertise scientifique adoptée. Mieux, il souhaite qu’Amnesty international rende public ce rapport.
Cependant, le Maroc se dit toujours ouvert au dialogue et réitère sa demande d’éclaircissements quant aux "fausses allégations" dont il est victime.
Aller plus loin
Au lendemain de la condamnation à six ans de prison du journaliste marocain Omar Radi pour viol et espionnage, Amna Guellali, directrice régionale adjointe pour l’Afrique du...
Amnesty International a publié son rapport 2021 sur la situation des droits humains dans le monde, notant qu’au Maroc le bilan est toujours sombre.
Amnesty International appelle le Maroc à cesser de poursuivre en justice des défenseur·e·s des droits humains en raison de publications sur les réseaux sociaux.
Le procès le journaliste Omar Radi, pour « ébriété publique » avec « injures » avec un de ses collègues Imad Stitou, lui, en liberté, s’est ouvert jeudi devant le tribunal de...
Ces articles devraient vous intéresser :