Depuis 2012, la militante franco-marocaine Latifa Ibn Ziaten, mère du maréchal des logis-chef Imad, une des victimes du terroriste Mohammed Merah, travaille avec les familles et les communautés pour empêcher les jeunes de tomber dans le piège de...
Incarcéré depuis le 17 septembre dernier pour avoir diffusé une vidéo sur le site "Lakome", le journaliste Ali Anouzla vient d’être remis en liberté provisoire.
Une demande en ce sens avait été faite au juge d’instruction de la cour d’appel de Salé par son nouvel avocat, Hassan Semlali, en début de semaine, et d’après le journal Le Monde, les "formalités en ce sens (liberté provisoire), sont en cours".
Le directeur de publication de la rédaction arabophone "Lakome", a été arrêté le 17 septembre dernier, suite à la publication d’un article avec un lien envoyant vers un blog du journal espagnol Elpais, dans lequel une vidéo qui, d’après les autorités marocaines, faisait l’apologie du terrorisme et était donc passible de 20 ans de prison.
Ses défenseurs eux, comme les organisations internationales Amnesty International et RSF, estiment que le journaliste paye ses prises de position très critiques envers les autorités marocaines.
Depuis, le site Lakome dans ses deux versions, est en stand-by. D’après l’avocat du journaliste, ce dernier a demandé l’arrêt complet de la version arabophone, alors que que son co-fondateur, et responsable de la version française, Aboubakr Jamai, parle plutôt de pression exercées contre Ali Anouzla et son entourage.
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