La production des métaux nécessaires à la fabrication des batteries ou moteurs des voitures électriques exige beaucoup d’eau. Une ressource qui se raréfie de jour en jour dans des pays comme le Maroc, déjà frappé par une sécheresse sévère.
Renault Tanger n’en finit pas d’attirer les équipementiers de divers horizons. Après le franco-belge Inergy Automotive Systems et le brésilien Pinto, l’Espagnol Dabel investit à son tour pas moins de 22 millions de dirhams à Tanger, pour se rapprocher de l’usine Renault à Melloussa.
Spécialisé dans la conception de pièces électromécaniques dédiées à 50% au secteur automobile, l’équipementier espagnol est sur le point de finaliser la construction de son usine dans la zone franche.
Présent depuis 2006 au Maroc, où il s’était installé dans la zone industrielle de Gzenaya non loin l’aéroport de Tanger, Dabel dispose également de quatre unités industrielles en Espagne.
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