Cette décision intervient suite à un long interrogatoire par les membres de la commission de l’Inspection générale, selon un membre de l’Association des étudiants de l’ENCG citée par h24info.
L’intéressé ainsi que plusieurs présumées victimes ont été entendues par la commission. « D’autres n’ont pas encore trouvé le courage pour le faire », poursuit cette source, notant que deux cellules d’écoute ont été mises en place à l’école.
A lire : Cinq professeurs poursuivis pour harcèlement sexuel à Settat
Selon une autre source contactée au ministère de l’Éducation, « la commission n’a pas encore achevé son travail, qui demeurera d’ailleurs confidentiel et sera rapporté directement au ministre ».
Et d’ajouter que « la commission peut demander à voir plusieurs personnes et pas uniquement le professeur et les victimes. D’autres enseignants et chefs de départements au sein de l’établissement seront eux aussi auditionnés […] en somme toute personne susceptible d’avoir une information pertinente sur le dossier ».