Une dizaine d’entre eux ont, en effet, entamé une procédure devant les prud’hommes de Douai pour bénéficier des mêmes indemnités que celles obtenues par les Français et ressortissants européens à la fermeture des Houillières dans les années 1980 (80.000 euros par mineur environ).
L’audience de conciliation, prévue hier, a été reportée au 2 octobre en attendant ces négociations. « Je veux bien transiger, mais il faut que ce soit valable pour mes clients », a réagi l’avocate des ex-mineurs.
Source : 20 Minutes - Vincent Vantighem