« Nous avions attiré votre attention sur le sujet en 2015, et plus récemment au mois de février 2017 où Votre Majesté a pu être informée par une des victimes, membre de l’ADJM de la réalité quotidienne des suites données aux dossiers en cours », rapporte le site Telquel, disant avoir eu un « immense espoir » dans la lettre adressée par le roi Mohammed VI au ministre de la justice de l’époque Mustapha Ramid.
Pour l’ADJM, « les directives royales peinent à être appliquées » à cause notamment « des délais abusifs de procédures » et des spoliateurs qui « continuent à instrumentaliser l’appareil judiciaire ».
L’association pointe du doigt la loi 39-08/2011 qui valide les transactions même avec des documents falsifiés si celles-ci ne sont pas attaquées par les propriétaires légitimes dans les quatre ans suivant la signature.