« Cette décision reflète une fois de plus l’engagement total de l’État algérien à faire face avec fermeté à toute manœuvre visant à porter atteinte à l’unité, à la sécurité et à la stabilité de notre chère patrie », indique le Conseil constitutionnel dans son communiqué, citant l’un de ses précédents communiqués.
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Dans ce précédent communiqué, il avait indiqué que « l’attitude du Maroc dénote son mépris continu des principes de bon voisinage et des lois et us internationales mais aussi sa violation flagrante de la Charte des Nations unies, qui consacre les principes de souveraineté et de non-ingérence dans les affaires internes et l’unité territoriale des États ».
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L’Algérie continuera de « soutenir les causes justes et elle restera une source de paix dans notre région et dans le monde en général, dans l’accomplissement de ses principes fermes et des valeurs sacrées de la Révolution du 1ᵉʳ novembre », assure le Conseil constitutionnel.