Des sanctions après les perturbations du cortège royal
Trois jours après qu’un homme a réussi à se jeter sur la voiture du roi Mohammed VI, des hauts responsables sécuritaires viennent d’être sanctionnés.
Une nouvelle fois, le ministère de l’Intérieur vient de démentir les informations selon lesquelles des privilèges ont été octroyés aux personnes ayant entravé le cortège royal.
En plus d’exposer la vie de leurs auteurs et la sécurité du cortège royal, ces agissements constituent un crime aux yeux de la loi, écrit le ministère de l’Intérieur dans un communiqué démentant catégoriquement que des individus aient bénéficié d’un quelconque privilège en entravant le passages du cortège royal.
« Les services de sécurité accompagnant le cortège royal ne recevront aucune demande présentée de la sorte et quelle que soit sa nature », lit-on sur le communiqué, rappelant que « ces services ne sont pas responsables au cas où un malheur, qu’à ne Dieu ne plaise, arriverait aux auteurs de ces agissements ».
Malgré plusieurs rappels et des condamnations à de la prison ferme, beaucoup d’individus tentent de s’adresser directement au souverain en tentant de bloquer son véhicule, très souvent au péril de leur vie.
Aller plus loin
Trois jours après qu’un homme a réussi à se jeter sur la voiture du roi Mohammed VI, des hauts responsables sécuritaires viennent d’être sanctionnés.
Une nouvelle fois, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) vient de rappeler l’interdiction faite aux citoyens de perturber le cortège royal.
Les autorités avaient prévenu. Toute personne tentant d’arrêter le convoi du roi Mohammed VI sera sévèrement punie.
Une jeune femme de 19 ans a été condamnée à une peine d’un an de prison ferme pour avoir arrêté la voiture du roi Mohammed VI alors qu’il se trouvait à Salé.
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