Dominique Strauss-Kahn
DSK semblait l’homme de la situation pour remplacer Mohamed Boussaid, ce haut cadre à la longue expérience ministérielle, les défis d’alors étant nombreux. Il fallait renégocier avec les bailleurs de fonds et engager la réforme fiscale nécessaire à la modernisation du pays.
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Contacté, l’ancien directeur général du Fonds monétaire international (FMI) était intéressé par la proposition et même disposé à fermer son cabinet de conseil basé à Casablanca (Parnasse International ) qui lui rapportait beaucoup d’argent, rapporte Forbes.
Mais au final, le projet n’a pas abouti en raison des oppositions à l’entrée au gouvernement marocain de DSK, impliqué dans plusieurs scandales sexuels, et du fait qu’il n’ait pas de passeport marocain.