Une vingtaine de parlementaires marocains sont dans le collimateur de la justice. Ils sont poursuivis pour faux et usage de faux, abus de pouvoir, dilapidation et détournement de fonds publics.
Le Mouvement Alternatif pour les Libertés Individuelles plus connu sous le nom Mali, relance le débat à l’arrivée du ramadan 2010 sur la liberté de ne pas jeûner lors de cette période.
Le mouvement, crée par la journaliste Zineb El Rhazzaoui, avait déjà tenté de sensibiliser les Marocains à sa cause l’année dernière en organisant un goûter en plein ramadan. Celui-ci avait été empêché par les autorités.
Cette année, le Mali ne semble pas prévoir d’action similaire, ou du moins n’en a pas encore fait l’annonce, mais veut relancer le débat "en faveur de la liberté de conscience et de religion" (Le Soir échos).
Au Maroc, il est strictement interdit de rompre le jeune durant la journée en public. L’article 222 du code pénal marocain prévoit des peines allant jusqu’à 6 mois d’emprisonnement pour tout musulman mangeant publiquement pendant le ramadan.
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