Achraf Hakimi a été mis en examen vendredi pour viol. Le défenseur marocain du Paris Saint-Germain (PSG), qui nie les faits, est soutenu par sa famille et son club. Selon ses proches, il dit se sentir « trompé ».
Lors de l’interpellation de trois hommes menaçant des agents de police, un brigadier-chef des services de police de Berrechid a été contraint, le samedi 7 septembre, de dégainer son arme sans en faire usage, indique un communiqué de la Direction générale de la Sûreté nationale.
Une patrouille de police intervenue le samedi 7 septembre, pour arrêter les trois suspects impliqués dans un conflit de voisinage, a été confrontée à une opposition farouche des prévenus, rapporte la Map.
En effet, les mis en cause ont fait usage d’armes blanches, contraignant le brigadier-chef à dégainer son arme de service, neutralisant ainsi le danger d’une éventuelle agression sur une femme.
Les trois suspects avaient participé à des violences entre deux familles du quartier de Hay El Hassani, à Berrechid. Celles-ci comportaient deux frères multi-récidivistes et un troisième homme qui faisait en outre l’objet d’un avis de recherche national.
Ils ont tous été interpellés. Ainsi, les mis en cause ont été aussitôt placés en garde à vue et se trouvent sous le coup d’une enquête menée sous la supervision du Parquet de Berrechid.
Toutefois, les recherches se poursuivent pour arrêter d’autres complices de ces actes criminels, conclut le communiqué de la DGSN
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