
Face à la sécheresse et au stress hydrique d’une part, et à l’inflation d’autre part, le gouvernement marocain est contraint de revoir sa politique agricole et alimentaire pour garantir l’eau et le pain.
Le prix des fruits et légumes a baissé de 11% au cours des deux premières semaines de décembre, comparé à novembre dernier.
Les tomates sont vendues 4 dirhams au lieu de 9 dirhams et les pommes de terre 4 dirhams contre 7 dirhams en novembre. Seul le prix des céréales et des viandes est resté inchangé.
Le gouvernement avait annoncé jeudi, pour répondre aux inquiétudes des consommateurs, que l’offre dépassait la demande sur le marché des denrées alimentaires et que les prix devraient rester stables.
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