12 novembre 2018 - 14h00 - Monde
Construite il y a plus de 50 ans, la Porte du Maroc qui se trouve dans la commune de Tan Linh, dans la banlieue de Hanoï, a finalement été restaurée.
Cette porte a « bénéficié de grands investissements de l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI) à travers l’ambassade du Maroc au Vietnam et a été soutenu par le Comité populaire de Hanoï », rapporte le journal local le Courrier du Vietnam.
Pour l’ambassadeur du Maroc au Vietnam, Azzeddine Farhane, « la Porte du Maroc reflète la profonde amitié et incarne les relations historiques entre le Maroc et le Vietnam depuis l’établissement de leurs relations diplomatiques en 1961 », rappelant que « l’ouvrage est le fruit de la présence de soldats marocains qui ont déserté, pendant la guerre de libération au Vietnam, le corps expéditionnaire français pour rejoindre le Viêt Minh (Front de l’indépendance du Vietnam) ».
Ce sont des soldats marocains qui ont construit cette porte en s’inspirant de la même architecture, des mêmes sculptures que l’autres portes que l’on retrouve au Maroc comme à Marrakech, Rabat ou encore Meknès.
« La Porte du Maroc est un vestige culturel important de Hanoï. Sa restauration contribue à promouvoir ses valeurs. Dans l’avenir, ce monument sera une destination touristique intéressante », a pour sa part indiqué Ngô Van Quy, vice-président du Comité populaire de Hanoï.
Ukraine : des étudiants Marocains victimes d’une grosse arnaque
Al Hoceima touché par un tremblement de terre aujoud’hui
Le stand de Zineb El Rhazoui saccagé à la foire du livre de Bruxelles
Pays-Bas : expulsion d’un Marocain qui a jeté son bébé du 1er étage
Les souverains espagnols Letizia et Felipe se recueillent sur les tombes de Mohammed V et Hassan II
Insolite : La DGSN arrive sur Twitter et devient cible de moqueries
Immigration : le Canada organise des sessions d’information au Maroc
France : les actes antimusulmans en baisse
Le Maroc expulse un Français
France : 7 mosquées fermées en 15 mois
Suisse : Genève interdit aux fonctionnaires de porter des signes religieux
Une « espionne marocaine » attaque l’Etat belge après son expulsion