Ce montant représente une révision à la hausse de 10 millions de dirhams par rapport à l’année 2007, soit environ 20 pour cent de l’aide affectée à la promotion du septième art au Maroc. Selon les professionnels du secteur cinématographique au Maroc, la dynamique productive des dernières années est rendue possible grâce au fonds d’aide instauré en 1980.
La moyenne de production des longs métrages marocains tourne autour d’une douzaine chaque année depuis la fin des années 90 et ambitionne de franchir le cap de 40 productions à l’horizon 2020.
Source : APA