6 décembre 2019 - 09h00 - Société - Par: G.A
Les cafés hors la loi installés un peu partout à Casablanca s’activent pour se mettre en règle. La démolition de plusieurs terrasses de café a fini par faire plier les propriétaires les plus récalcitrants.
La campagne de récupération du domaine public menée dans la capitale économique commence à donner ses premiers résultats, a écrit Barlamane.com. La plateforme électronique « Rokhas » enregistre de nombreuses demandes de régulation des cafés hors-la-loi qui se trouvent dans la ville. Plus de 80 demandes d’autorisations ont été déposées en une seule journée.
À Casablanca, les cafés dont il est question sont évalués à 20.000 et occupent l’espace public sans payer les redevances. Plus grave encore, certains propriétaires exercent sans autorisation. Ils sont à peine 3.000 à évoluer en toute légalité.
A ce jour, plus de 17.000 procès verbaux ont été dressés par 150 agents de police administrative, qui bénéficieront d’un renfort de 100 agents en janvier prochain pour des contrôles du domaine public, l’urbanisme, et l’hygiène, a indiqué la même source.
Paris aura son premier un musée-mémorial du terrorisme
« L’historiographe du royaume », un ouvrage sur la vie et le parcours du roi Hassan II
L’informel, l’autre fléau qui gangrène l’économie marocaine
Très mauvaise année pour la CTM
Près de 90 % de Marocains accèdent à Internet via un appareil mobile
Coopération Maroc- Côte d’Ivoire : où en est le chantier de la baie de Cocody ?
Du nouveau dans l’affaire de la fusillade du café « La Crème » à Marrakech
Maroc : le couvre-feu prolongé de deux semaines
Les taxis de Rabat seront-ils bientôt gérés par des sociétés privées ?
Ceuta : baisse de 31 % des naissances à cause de la fermeture de la frontière
La Kafala au Maroc : appel à une simplification de l’adoption
Un Marocain arrêté à Estepona avec 4,350 kilos de cocaïne