Selon les dernières informations, relayées par le site Akhbarona, la défense de l’accusée avait demandé à ce que la responsabilité pénale de sa cliente ne soit pas engagée, en raison de ses troubles psychiatriques. La femme n’était pas consciente de ses actes au moment de l’accident, a-t-il avancé.
La défense a également sollicité la comparution physique et non virtuelle de sa cliente, afin de permettre aux magistrats de constater directement l’état de santé de cette dernière. L’avocat a demandé à cet effet de reporter l’audience du lundi à une date ultérieure.
Rappelons que le mari de la mise en examen avait renoncé à poursuivre son épouse, suite au rétablissement de ses 3 enfants. Par ailleurs, l’enquête sociale, ordonnée par le juge d’instruction, avait révélé l’influence des conflits familiaux sur la santé mentale de l’épouse.