
Depuis 2019, une Belgo-Marocaine de 73 ans mène des démarches administratives infernales afin de faire rectifier son nom de famille.
Le tribunal de Sebta a acquitté une femme marocaine poursuivie pour violences contre son ex compagnon, malgré son absence lors de l’audience.
La jeune femme, sous le coupe d’une interdiction d’approcher la victime pendant deux ans, risquait une peine de 9 mois de prison pour avoir agressée son ex compagnon qui s’apprêtait à rentrer chez lui au quartier Juan XXIII, à Sebta, le 24 janvier 2009.
La femme n’ayant pas supporté que son ex compagnon l’abandonne après dix ans de vie commune, ce qui signifiait pour elle qu’elle ne pourrait pas régulariser sa situation à Sebta, aurait menacé l’homme pour obtenir la garde de sa fille.
La défense de la mise en cause, qui a démenti les allégations du plaignant, a imputé l’absence de leur cliente au fait qu’elle était interdite d’entrée à Sebta.
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