Fou amoureux de son épouse, Remco Evenepoel s’est fait tatouer son prénom Oumaïma « Oumi » sur le poignet droit. Une inscription indélébile qui a une signification importante pour le cycliste belge. Interrogé à ce sujet, il répond : « C’est un petit tatouage. […] Je ne suis ni le premier ni le dernier à me faire tatouer. » « C’est le prénom de ma femme (Oumaïma, NDLR) en arabe. Et c’est joliment écrit », a-t-il souri.
Ce n’est pas la première fois que Evenepoel rend hommage à sa femme. « Ce fut le combat le plus difficile de ma vie jusqu’à présent, mentalement et physiquement. Je peux dire honnêtement que j’ai sombré et beaucoup douté de mon avenir. Il y a eu beaucoup de larmes et de frustration. C’est pourquoi je veux vous montrer qui a vraiment été là pour moi ces derniers mois », a-t-il témoigné à Oumaïma, qui a été d’un grand soutien pour lui lorsqu’il traversait des moments difficiles.
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Le cycliste belge avait en effet été victime d’un accident grave en décembre 2024. Et, depuis le Tour de Lombardie en octobre, il n’avait plus participé à une course. Après des mois de rééducation, le double champion olympique de Paris (contre-la-montre et sur route) a fait son retour dans le peloton lors de la 65ᵉ édition de la Flèche Brabançonne. Ce mercredi, il participe au contre-la-montre de la quatrième étape du Critérium du Dauphiné. Son souhait, c’est de le gagner. « Quelle est mon ambition ? C’est encore une question ? Chaque contre-la-montre que je dispute, je le fais pour le gagner », a-t-il déclaré.
Et d’ajouter : « Que cela puisse être la 1000ᵉ victoire de l’équipe, je n’y ai pas encore beaucoup réfléchi. Mais que ce soit justement moi, en tant que champion du monde et champion olympique, qui le fasse, c’est pour Patrick (Lefevere, NDLR) une belle conjonction de circonstances. »