L’élu, membre du Parti Authenticité et Modernité (PAM), avait demandé 10.000 dirhams à son dénonciateur en contrepartie de la validation d’un plan de construction. Il avait été interpellé par la police en présence du substitut du procureur, alors qu’il recevait l’argent.
Le mis en cause, qui allait déposer sa candidature pour participer aux élections législatives du 25 novembre, a été transféré à la prison civile Sidi Saïd de Meknès, où il purgera sa peine.
Au Maroc, les autorités s’affairent à consolider les mécanismes de prévention et de répression de la corruption conformément à la nouvelle constitution, qui consacre tout un article à la bonne gouvernance et à la lutte contre la corruption.