Jamel Debbouze : Le beurgeois rebelle

19 juillet 2002 - 15h38 - Culture - Ecrit par :

C’est l’histoire d’un mec qui s’appelle Jamel. « Avec un J comme Jean », précise-t-il. Un mec devenu en moins de quatre ans le Coluche d’une France « black, blanc, beur », le « Zidane du rire », le prince de la tchatche et des cités.

Formé à l’école de l’improvisation théâtrale - il fut vice-champion du monde - Jamel Debbouze a conduit sa carrière comme un bolide depuis ses premiers pas à Canal + avec Le Cinéma de Jamel (1997) jusqu’à l’Olympia, où il s’est produit trois semaines à guichets fermés (fin 2000), et à Astérix et Obélix : mission Cléopâtre, qui a rassemblé 14,3 millions de spectateurs. « Il a pris carrément l’ascenseur de l’Empire State Building », s’amuse Bertrand de Labbey, son agent, celui de Gérard Depardieu, Jacques Villeret... « Je suis consécramé, analyse l’intéressé. Qu’est-ce qu’il me reste à faire après tout ça ? Le plus gros : remettre la balle au centre. Mon quotidien ne se résume pas à l’esbroufe, au spectacle, à la représentation. Mais aussi au temps passé à Trappes Yvelines dans ma famille, derrière le périf. » Farces et Trappes, toute une vie...

Chahuteur, agité comme un shaker, mitraillette à néologismes, Jamel retire ses doigts de la prise pour se raconter dans le bureau de Kissman, sa société de production. Trois horloges indiquent l’heure de Paris, Casablanca et Miami, des fuseaux horaires qui font écho à sa multiculture : Paris, où il est né ; Casablanca, l’un des berceaux de la famille Debbouze ; Miami, la ville de Tony Montana, le héros de Scarface (1983, Brian De Palma), truand cubain faisant main basse sur la Floride. Aux murs voisinent, encadrés, la vidéo de platine de Jamel en scène (410 000 exemplaires vendus), un maillot de foot sur lequel est inscrit « Rebeu 11 » (rebeu = beur en verlan), des photos de la pub qu’il a réalisée à Trappes pour Universal Music Mobile, déprogrammée après le 11 septembre. Ici, c’est lui, le patron.

27 ans, 1,65 mètre, 1,07 million d’euros par film

« Moi, j’ai débarqué dans le show-business comme une petite fille qui vient cueillir des marguerites dans la prairie, s’étonne-t-il. Pour me marrer et faire "kiffer" (apprécier). Mais aujourd’hui, j’ai besoin d’avoir autour de moi des gens qui me structurent. Mon avenir passe par Kissman Productions. » En langage des Yvelines, un « kissman » est un mec bien. L’expression découle du Kissclub, la première boîte de nuit parisienne à avoir accepté des Noirs et des beurs. « Il fallait avoir un bon état d’esprit pour y entrer. Contribuer à faire avancer l’Histoire », explique Jamel.

Dans les projets de Kissman figurent une comédie sociale proche de Do The Right Thing - chronique raciale d’un été torride à Brooklyn signée Spike Lee - coécrite avec Jean-Pierre Bacri ; Indigènes, un film de Rachid Bouchareb (Little Sénégal), qui rappellera l’épopée des tirailleurs marocains et sénégalais engagés dans l’armée française en 39-45. « C’est grâce à leur sacrifice que j’ai le droit de vote », appuie-t-il. Le troisième dossier est Ça fait plaisir, un spectacle en co-affiche avec Gad Elmaleh, prévu à l’Olympia pour avril 2003. La scène sera partagée en deux : un territoire israélien (Elmaleh), un palestinien (Debbouze). Enfin, un documentaire de cinquante-deux minutes est en route. Thème : l’influence de Scarface sur les jeunes de Brooklyn et de Trappes. Al Pacino a dit oui. Il a ajouté : « Depuis dix-neuf ans, j’attendais que l’on me pose cette question. » Kissman fait avancer l’Histoire : c’est Jamel acte II.

Jamel Debbouze a tout juste 27 ans. Il mesure 1,65 mètre et pèse 1,07 million d’euros par film. C’est l’un des dix comédiens français les mieux payés du moment - il empocherait 1,52 million d’euros pour un futur Ripoux 3 (Zidi). « Avec l’accord de Jamel, un producteur peut monter n’importe quel long- métrage ces jours-ci », assure De Labbey. Mais le dernier film de Jamel, c’est Jamel... en vrai !, un documentaire produit par Kissman et directement édité en vidéo et DVD (Universal), dans lequel il consigne les dix derniers mois de sa course folle. A la caméra, le grand reporter Roland Allard et Karim Debbouze, frère de. Un album de photos,In Bed with Jamel (Albin Michel), accompagne la sortie. La caméra est au cœur de lui-même, de sa famille et du système. « C’est une année où se sont enchaînés Amélie Poulain (il incarnait Lucien, l’épicier), Astérix, l’Olympia, le duo avec Snoop Doggy Dog, analyse Jamel. Et où je me suis séparé puis remis avec ma meuf, mais ça, c’est pas dans la vidéo... »

Jamel... en vrai ! s’arrête également sur le rapport à l’ « oseille ». « J’ai sauté du RMI à l’ISF (impôt de solidarité sur la fortune) et je dis : hamoudoulah, c’est la classe ! comme lorsque mon père empochait en fin de mois son chèque de 3 500 francs à la Comatec », argumente-t-il. Lorsqu’il naît, le 17 juin 1975, le grand-père, « un cerveau », possède trois épiceries à Barbès. Il ouvrira à Casablanca une usine de confection. Jamel est l’aîné de trois frères et deux sœurs. Installés à Trappes, les Debbouze habitent une zone pavillonnaire classée HLM. Les maisons du coin font cercle autour d’un rond-point.

Le goût de la bande, « bouclier » contre l’extérieur, lui est resté
« La quasi-totalité de mes sketchs est inspirée par les histoires et les embrouilles de ce lieu stratégique, dissèque-t-il. C’est là que j’ai vu Nicolas Anelka jongler avec un ballon de foot pour la première fois. Là que j’ai fait mes premières impros avec Omar (d’Omar et Fred, le duo comique de Canal +). » Il confie : « Le soir, après le dîner, à l’heure où le rond-point était désert, j’épiais l’ambiance dans les maisons de mes potes. Il se mêlait des odeurs de couscous et de maffé (plat africain). »

Le père est chef de groupe à la Comatec. La maman, femme de ménage chez Bouygues, où elle remporte la médaille de bronze de la meilleure « fourmi ». « Je suis sûr et certain qu’elle s’est interdit de vivre les choses passionnément, car, pour elle, cela aurait signifié une perte de temps : elle cumulait deux boulots », regrette Jamel. Les courses chez Ed l’épicier et l’overdose de sous-marques Mutella, Vroca-Cola alimenteront ses sketchs : « Les gâteaux avaient la forme, mais aussi le goût du chacal. » Ses parents sont des gens à principes, dignes et pudiques. « Mon père m’avait prévenu : "Si tu ramènes un jour les flics, j’arrache ta page du livret de famille." » L’oncle Abdel, ambulancier, surveille les études. Parfois, 22 personnes vivent à la maison, « par besoin de chaleur, de sécurité ». Le goût de la bande, « bouclier » contre l’extérieur, lui est resté. Jamel se déplace rarement seul.

La famille nombreuse, avec ses humeurs, son humour, danse sur Clo-Clo, Barry White ou Farid el-Atrache et regarde les films de De Funès, Fernandel, Jerry Lewis ou... la série Dallas. Mohammed, le père, imite J.R., Jamel, Bobby. « Petits, on s’inspirait déjà des grands pour charrier, se souvient Momo, le frère cadet de Jamel, son "manager affectif", chargé par la mère de veiller sur lui. On était des leaders, pas des suiveurs, c’est sans doute pour cela que l’on n’est pas partis en vrille. » Rien à signaler, à part quelques paires de Nike « empruntées » dans les vestiaires.

A 14 ans, c’est l’accident. Pour attraper le dernier bus, Jamel traverse les voies du RER. Un train le fauche : il gardera son bras droit paralysé, branche noueuse et desséchée. « Sans faire Cosette, jamais avec ce bras dans la poche je n’aurais cru arriver à un tel niveau de satisfaction personnelle », insiste Jamel. « Cela a renforcé sa volonté d’être un artiste, commente Alain Degois, son professeur, actuel directeur de la compagnie Déclic Théâtre à Trappes. On comprenait sa force dès qu’il entrait sur scène. » Alain Degois, dit « Papi », lance à l’époque, en 1989, un atelier d’improvisation de théâtre dans les collèges. Jamel s’y frotte. Son professeur de français l’encourage : « Tu es fait pour ça. »

« Ce sont ces acteurs de mon quartier qui m’ont montré la vérité », s’émeut Jamel. Un silence, puis : « Si un jour Jacques Chirac me demandait ma solution pour les banlieues, je lui dirais que les gens se comporteront normalement quand on les traitera normalement. Les profs, les docteurs, les flics, les facteurs doivent croire en nous. On ne porte pas le gène du vol, de la méchanceté, de l’ingratitude, du voyou... »

Depuis la réussite de Jamel, Trappes est devenue la cité de l’humour

La banlieue ? Mieux vaut en rire ! Jamel devient vite la vedette de son collège. L’équipe de la Ligue d’improvisation des Yvelines multiplie les championnats de France et du Québec. Jamel s’entraîne plusieurs fois par semaine, enchaîne les contrats emploi-solidarité et les « sandwichs au pain » avant de tester son premier one-man-show. « Aujourd’hui encore, il a gardé des réflexes de pointeur (gagneur de points dans les championnats), analyse Alain Degois. Il essaie toujours d’avoir le dernier mot, de choper la caméra, de convaincre le public. » Depuis la réussite de Jamel, Trappes est devenue la cité de l’humour. Jamel, très actif dans le football-club local, est vu comme le maire bis. Et Alain Degois anime Les Vacances de l’impro, fréquentées tous les mois de février par 100 juniors.

Jamel rappelle qu’il lui a fallu mordre les planches douze longues années avant de « faire » l’Olympia. Il est reconnaissant aux rencontres qui l’ont mené des cafés-théâtres anonymes à Radio Nova, où il tient à la fin des années 1990 une chronique cinéma inspirée par les commentaires de films américains faits par les jeunes des cités, puis à la chaîne câblée Paris-Première et à Canal +. Là, Alain de Greef, directeur des programmes, pousse la culture hip-hop sous les projecteurs. « Sa capacité d’intervention sur le direct vaut celle de Coluche, de De Caunes, de Chabat ou de Farrugia », juge-t-il.

L’effet Jamel est immédiat. La série H, un Urgences « made in Sarcelles », cartonne. Au cinéma, il interprète un taulard multirécidiviste dans Zonzon, de Laurent Bouhnik. Puis tourne Le Ciel, les oiseaux... et ta mère !, de Djamel Bensalah, comédie fauchée sur des Pieds Nickelés du bitume, qui s’avère le « jack-potes » de l’année 1999 : 1,2 million d’inconditionnels suivent Jamel. Désormais vedette des banlieues, il laisse sa Ferrari ouverte avec portable et portefeuille en vue. Le lendemain, il y a encore davantage de billets, et aussi des cédés, des messages : « Continue, tu nous fais du bien », « Tu as décollé du mur », « La citoyenneté, c’est toi » ...

« Il oppose à la grande fragilité de son personnage la violence des mots »

L’humour « trappiste » de Jamel tient à l’art maîtrisé de l’improvisation, mais aussi à l’étude de quelques maîtres, comme Charlie Chaplin, Eddie Murphy (Le Flic de Beverly Hills) ou Albert Dupontel, qui triompha dans un one-man-show (1992) avant de s’imposer comme acteur-réalisateur (Bernie). « Jamel m’a confié un jour m’avoir tout piqué, se marre Dupontel. Moi, je jouais les névropathes de banlieue sans les côtoyer. Lui, si. Il oppose à la grande fragilité de son personnage la violence des mots. »

« Pareil à Chaplin ou à Keaton, Jamel puise sa force dans l’entre-deux, le seuil, la frontière, décrypte Olivier Mongin, directeur de la revue Esprit, qui vient d’écrire Eclats de rire (Seuil). En cela, il est au centre du débat sur l’émigration. » Né ici donc « ici-ien », comme il dit, accompagné d’un « Laisse-moi tranquille, Le Pen », Jamel incarne les France. Et d’abord celle d’en dessous, celle des halls de HLM, qui ne maîtrise pas bien le français mais cherche le mot juste. « Sa langue, c’est le « rebeu », poursuit Mongin. Il casse le français avec beaucoup de malice, injecte de l’arabe dans le verlan, agence des interjections. Physiquement aussi, c’est un perturbateur, capable de bondir tel un lionceau, de tourner sur lui-même comme d’avancer en ligne droite. »

« Sa part marocaine est considérable, notamment dans sa danse du corps », confirme Azouz Begag, sociologue et auteur des Dérouilleurs (Mille et Une Nuits) ou l’histoire des « grands frères » qui n’ont pas voulu « rouiller » en cité. « Il incarne la symbiose Afrique du Nord-Europe avec une harmonie inouïe, souligne Begag. Et contribue à créer de la mémoire commune, à nous enraciner dans la culture française. »

« Il suffit que je franchisse une porte pour que je sois français ou marocain », prétend Jamel, qui jongle avec toutes les provocations. Iconoclaste en France, il est cependant respecteux au Maroc, où il s’incline devant le roi. Loin de la génération beur des années 1980, qui a engendré l’actuelle beurgeoisie de quadras, Jamel s’impose cash. « Jamel, Eric & Ramzy ont donné un coup de vieux à l’humour plus institutionnel de Muriel Robin, de Palmade, de Bigard, assure Jimmy Levy, son ex-producteur. Même leurs tournées ressemblent à des tournées de rockers. »

La politique ne s’y trompe pas. François Mitterrand, croisé lors d’un gala, l’invite à une garden-party du 14 Juillet. Le roi Hassan II le félicite lors d’une émission à la télé. Et Sa Majesté Mohammed VI l’installe à la place d’honneur, lors du 1er Festival du film de Marrakech, l’an dernier. Tout un symbole, tout un statut. Au Maroc, où il a tourné des pubs pour Maroc Telecom, Jamel est d’ailleurs une star. Quand il se promène dans la rue, mille personnes crient son nom, veulent le toucher.

« Toutes les situations sont à lui s’il le décide. Ensuite il les "jamellise" dans le sens d’une réflexion très universelle »

C’est que Jamel est devenu une grosse machine qui tourne rond. « Il n’est pas dupe, il sait qu’il est un produit, confie un collaborateur. Abusé par certains, il en a gardé de la tristesse, pas de l’amertume. » L’abus, c’est une escroquerie de plus de 300 000 euros organisée par une ex-assistante, contre laquelle il a déposé plainte. Mais aussi des différends inhérents au show-biz. Son cachet pour Le Ciel, les oiseaux... n’a pas dépassé les 15 250 euros. Il a touché tout juste 4% sur la vente des premières vidéos, qui aurait rapporté 38 millions d’euros. Et les droits de ses premiers sketchs appartiennent à son ancien producteur. Son spectacle aurait engrangé 1,07 million d’euros. Sommes non confirmées par la production.

« Je lui tire mon chapeau, confie son frère Momo. Il a été livré à lui-même dans un milieu inconnu, mais il a su garder son sang-froid face à toutes les situations. » « Jamel est un mec en boucle qui ne touche à rien : ni cigarette ni alcool. Il mange peu, réfléchit beaucoup, fait ses cinq prières et discute avec les anciens », ajoute Roland Allard, qui a tourné trois cent cinquante heures de rush pour Jamel... en vrai ! « C’est à peu près une journée de Jamel », rigole-t-il. Il insiste : « Toutes les situations sont à lui s’il le décide. Ensuite il les "jamellise" dans le sens d’une réflexion très universelle. » « Généreux, gentil, mais parfois un peu roublard », selon un proche, Jamel est capable du pire comme du meilleur. « Il se fâcherait avec lui-même pour dire une connerie », assure Alain Chabat, qui l’a dirigé dans Astérix. On a vu Jamel vanner Catherine Trautmann, alors ministre de la Culture, sur son « tailleur Zavatta », lors d’une cérémonie des césars ; ou ramener Ronaldo pour un match de foot nocturne en plein Festival de Cannes. Fêtard, nuiteux, injoignable - il donne ses portables à ses frères et sœurs - il cumule les retards et les lapins, appelle trois jours après un déjeuner planté et s’excuse pour le dîner : « Mon père était malade, sur la vie d’ma mère. » Faut s’adapter.

Son duo avec Snoop Doggy Dog en a choqué plus d’un : « Les insanités que profère Snoop envers les femmes sont contradictoires avec les valeurs de Jamel », reconnaît un de ses copains. L’année 2000, il additionne les sales histoires. Un de ses gardes du corps est retrouvé assassiné, une course-poursuite un peu chaude, dans le XVIIIe arrondissement de Paris, fait couler de l’encre et une altercation avec des policiers à Bercy, le soir du 1er janvier 2000, l’inscrit à la rubrique faits divers. Jamel y est photographié face à terre. Incident ou bavure, « l’affaire Jamel » prend de l’ampleur. Il perdra son procès. L’ombre du gangsta-rap plane alors sur lui. « J’ai subi une injustice, se défend Jamel. Ce qui m’a déçu, c’est que l’on ait pensé que j’orchestrais ma pub, puis que l’on m’associe à tous les voyous de Paname. A l’époque, j’étais mal entouré, c’est vrai, mais Johnny Hallyday ou Will Smith l’ont aussi été à un moment de leur carrière. »

« Pourquoi Jamel devrait-il être un modèle, un porte-drapeau, un porte-parole, s’énerve Alain Chabat, alors qu’on n’exige rien de comédiens de sa génération ? » Au mois de novembre 2000, lors d’une rencontre sur LCI avec Sœur Emmanuelle, cette dernière lui a affirmé : « Nous deux, on exerce le même métier, on a le même public. Le mien vit au Caire sur des ordures. Le tien est malheureux dans sa tête. » Puis elle a ajouté, en arabe : « Reste toujours le fils de ta mère. » Et Jamel a pleuré.

L’Express - Gilles Medioni

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