Dans les hautes sphères de l’establishment français, on tient à répéter que quels que soient les sentiments ou les « affinités » du futur président de la République française, il y a des constantes qu’ont ne peut guère toucher.
Il s’agit, entre autres, des relations privilégiées avec le Maroc. Celles-ci qui auront tendance à se consolider dans les prochaines années. Car ce pays a prouvé concrètement qu’il était un partenaire fiable aussi bien sur le plan de la coopération politique et économique qu’au niveau du partenariat dans le cadre de la Méditerranée.
L’entourage du secrétaire général de l’UMP, le candidat, Nicolas Zarkozy, ainsi que celui de la socialiste Ségolène Royal, précisent que la France sera toujours aux côtés du royaume marocain, notamment dans la défense de ses intérêts légitimes dans le Sahara marocain. Ce climat écarte toutes les rumeurs et spéculations qui ont laissé entendre, ces derniers temps, que le départ du président Jacques Chirac de la présidence jouera en défaveur du Maroc.
La Gazette du Maroc
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