Les Marocains résidant à l’étranger (MRE) contribuent faiblement au développement du Maroc. Pourtant, leurs compétences sont nécessaires pour relever les défis économiques et socioculturels du royaume.
Meknès, Erfoud,Tinjdad, Goulmima, Errachidia, Midelt, Boulemane et Fès. Autant de villes visitées et autant de lieux où la coopération maroco-japonaise est significative. Datant de près de deux décennies, cette coopération est présente sous différentes formes et couvre divers secteurs d’activité.
Elle touche à la fois le culturel, la santé, la lutte contre la désertification, les chemins de fer, l’eau. Aussi, durant trois jours (du 15 au 17 juin), une délégation composée de diplomates japonais, de représentants de la JBIC, de la JICA et du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération marocain, accompagnée de la presse nationale a pu constater de visu les résultats probants de ladite coopération et ce, sur plusieurs plans. Celle-ci s’est renforcée au fur et à mesure des années. Le nombre de projets réalisés et la diversité des domaines d’intervention en témoignent.
Ce qui sous-tend que l’Agence internationale de coopération, en tant que partenaire, se base sur une stratégie devant valoriser tant les ressources humaines que le transfert de technologie. L’objectif recherché est celui d’asseoir les secteurs de développement sur des bases solides et leur permettre d’évoluer durablement.
D’après Le Matin
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