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Après avoir prolongé en 2021 le mur de défense de 50 km à l’est pour sécuriser Touizgui dans la province d’Assa-Zag et compléter le dispositif sécuritaire à l’est, les Forces armées royales (FAR) ont déployé l’artillerie lourde dans la même zone.
Mohamed Cheikh Biadillah aurait été présenté comme l’homme de la situation pour présider le Conseil royal consultatif pour les affaires sahariennes (Corcas).
Les prétendants ne se bousculent pas aux portes du Corcas et il est difficile de trouver un successeur à Ould Errachid, qui ne serait pas rejeté par les Chioukhs des tribus du Sahara.
Le Corcas, présidé depuis 2006 par Khalilhenna Ould Errachid, peine à se trouver un président et les évènements survenus le 8 novembre dernier à Laâyoune et au Camp de Gdim Izik n’arrangent en rien les choses.
Président de la Chambre des conseillers et secrétaire général du Parti Authenticité et Modernité (PAM), Biadillah se serait excusé aimablement auprès des recruteurs, en raison des lourdes charges dont il a responsabilité. Aucun autre candidat n’est en lice pour l’instant.
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