Mystère total autour du meurtre collectif à Salé
Trois jours après la mort de six membres d’une même famille dont un enfant et un nourrisson, dans leur maison sise au quartier Errahma à Salé, le mystère sur les circonstances...
Les éléments de la 8ᵉ brigade militaire mobile ont repêché, dimanche 2 janvier au soir, les cadavres de deux femmes, originaires d’Afrique subsaharienne, rejetés par l’Atlantique sur la plage blanche de Guelmim.
Vraisemblablement victimes d’une tentative d’immigration clandestine, les dépouilles des deux femmes, découvertes lors d’une opération de ratissage des lieux, ont été transférées à la morgue de l’hôpital provincial de Guelmim.
Le jour même, 18 candidats à l’immigration clandestine, originaires d’Afrique subsaharienne, ont été appréhendés par les éléments de la brigade, lors d’une opération groupée menée en concertation avec la Gendarmerie royale et les autorités locales.
La perquisition a permis de saisir un canoë pneumatique sans moteur, ainsi que du carburant, qui étaient censés servir à assurer la traversée. Une enquête a été ouverte par les services concernés pour déterminer les circonstances de cette affaire et les personnes impliquées.
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