L’export d’oranges marocaines menacé
La filière des agrumes au Maroc est confrontée à d’énormes difficultés liées à la baisse de production du fait de la rareté des précipitations, ce qui affecte sa présence sur les marchés internationaux.
UE : Près de 40% de français placent le Maroc avant la Turquie
Quelque 39% de Français se sont prononcés pour une éventuelle adhésion du Maroc à l’Union européenne, plaçant ainsi le Royaume avant la Turquie qui ne recueille que 37% des voix françaises dans un sondage réalisé dans six pays européens et publié jeudi dans le quotidien "Le Figaro" Selon se sondage effectué par téléphone entre fin février et début mars en Allemagne, Espagne, France Italie en Grande Bretagne et en Pologne, auprès d’échantillons d’environ 1.000 personnes, quelque 55% des personnes interrogées se déclarent favorables à une entrée de l’Ukraine dans l’Union européenne contre seulement 45% des voix soutenant la candidature turque
Le Maroc, situé hors d’Europe, recueille dans ce sondage 35% des voix derrière la Russie (50%) et la Turquie (45%) Dans cette enquête, une majorité de 53% des personnes interviewées estiment que des négociations devraient être ouvertes avec l’Ukraine à la lumière de l’ouverture de négociations avec la Turquie, dont le principe a été décidé en décembre par Bruxelles. Selon « Le Figaro », "ces chiffres montrent à quel point la révolution démocratique orange de l’automne dernier a marqué les esprits européens, qui ont soudain pris conscience de l’existence de Kiev sur la carte de l’Europe". En France, les partisans d’une candidature ukrainienne représentent 58% des sondés (alors que les partisans d’une adhésion turque ne sont que 37%). Les Italiens et les Espagnols sont eux aussi très favorables à l’Ukraine, avec respectivement 62% et 60% des personnes interrogées. Chez les Britanniques, les deux pays recrutent quelque 50% d’opinions favorables à l’adhésion. Seule vraie exception à la tendance générale, l’Allemagne est opposée à 53% à une intégration ukrainienne et à 60% à une adhésion turque. Ce sondage a été commandé par un groupe de lobbying constitué l’été dernier à l’initiative du milliardaire Viktor Pintchouk, gendre de l’ancien président Leonid Koutchma.
Map - L’Economiste
Ces articles devraient vous intéresser :
