Des skieurs marocains aux jeux olympiques de Pékin
Deux skieurs marocains participeront à la 24ᵉ édition des Jeux olympiques d’hiver, prévue du 4 au 20 février prochain à Pékin. Abderrahim Kemmissa et Yassine Aouich ont réussi à...
JO de Pékin : le rêvé brisé du skieur marocain Abderrahim Kemmissa (Vidéo)
Qualifié pour la première fois de sa carrière aux Jeux Olympiques d’Hiver de Pékin, en ski de fond, l’athlète marocain Abderrahim Kemmissa apprend trois jours avant son départ qu’il ne participera finalement pas aux Jeux olympiques d’hiver. Il n’y aurait pas un quota suffisant pouvant permettre la participation du Maroc aux épreuves de ski de fond.
Une déception pour le skieur marocain qui avait entamé la nouvelle année avec tant de promesses. En 2021, Abderrahim Kemmissa a enchaîné les performances au Kazakhstan, en Italie, en France et en Turquie en vue de récolter les points nécessaires pouvant lui permettre de se qualifier aux JO de Pékin. Une première pour un skieur de fond marocain, rapporte TV5 Monde.
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Mais le rêve poursuivi pendant une année entière s’est brisé brutalement. La Fédération Royale Marocaine de Ski et Sports de Montagne a appris trop tard qu’elle aurait dû inscrire au moins l’un de ses deux fondeurs à un championnat du monde organisé en Allemagne, en février 2021. L’absence du Maroc à cette compétition l’empêche d’obtenir un quota pour que les deux skieurs de fond puissent concourir aux Jeux olympiques d’hiver.
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Déçu, Abderrahim Kemmissa affirme qu’il ne pouvait pas participer au championnat, même s’il avait conscience de son caractère obligatoire. De son côté, la Fédération Internationale de Ski (FIS), soutient que son règlement, publié en mai 2021, stipulait le caractère obligatoire des championnats mondiaux en Allemagne ou en Finlande. Mais pour le skieur marocain, le règlement de la FIS manque de clarté. Il regrette la mise en place de quotas qui ne concerneraient que « les petites nations ».
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L’aventure pour Abderrahim Kemmissa et Jawad Aidaoui se termine avant même d’avoir commencé. Même si le skieur ne vise que les JO de 2026, il est déçu de ne pouvoir récolter les fruits de ses intenses mois de préparations.
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