De jeunes Marocains, influenceurs, artistes et personnalités sont à l’origine d’une initiative visant à soutenir les familles dans le besoin en cette période de ramadan, mais aussi à les aider à éponger leurs dettes.
L’ONG marocaine Attac-Maroc a refusé de participer aux réflexions engagées autour du projet de réforme de la constitution, mettant en cause la légitimité de la commission chargée de la révision de la constitution.
Dans son communiqué, Attac s’en prend d’ailleurs avec humour à Abdelatif Mennouni : "Ca ne vous dérange pas, M. le président de la commission, d’inviter une association non-reconnue légalement ?".
Attac-Maroc affirme que les conditions démocratiques ne sont pas réunies autour de cette commission chargée de la révision de la constitution, pour qu’elle puisse conduire ces réflexions.
Boycotté également par le Parti socialiste unifié (PSU), l’Association marocaine des droits de l’homme (AMDH), une partie des Jeunes du 20 février et la Ligue marocaine pour la défense des droits de l’homme (LMDH), cette commission consultative est "non élue", "non démocratique", "illégitime" et "ne reflète en rien pas la volonté du peuple marocain", estime Attac-Maroc.
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