Aéroports marocains : un parking hors de prix pour les voyageurs
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La décision du conseil municipal de Casablanca d’installer des parcmètres à Ain Diab pour mettre fin au problème des gardiens illégaux de voitures ne serait pas vérifiée. L’information, largement relayée par la presse en début de semaine, a pourtant été bien accueillie par les internautes.
Des sources médiatiques ont rapporté l’information au début de cette semaine, indiquant que de nouveaux horodateurs seraient installés et déjà fonctionnels dans la corniche et les abords d’Ain Diab afin de pallier le problème des gardiens de voitures qui exercent sans autorisation et imposent un tarif minimum de 10 dirhams. La décision sera progressivement étendue aux autres quartiers de la ville, ont précisé les mêmes sources, ajoutant que cette mesure, si elle est effective, permettrait à la municipalité de renflouer ses caisses.
Mais cette décision n’a jamais été prise, assure une autorité de la ville, contactée par H24info. « Ecoutez. Je suis le vice-président chargé de la gestion de ce secteur. Je ne suis pas au courant », a confié Houssine Nasrallah, le deuxième vice-président de la mairie de Casablanca, soutenant que l’information est « fausse ».
À lire : Casablanca met fin au diktat des gardiens de parking
L’information a pourtant enflammé la toile. Sur Facebook, les internautes n’ont pas manqué de remercier les autorités communales pour avoir pris la décision de disposer des plaques « Parking gratuit » en jaune le long des parkings de la corniche d’Ain Diab. Des pages dédiées au « Boycott de moul gilet (Boycott des gardiens de voitures) », ont même relayé l’information et salué cette initiative.
D’autres internautes ont en revanche désapprouvé cette décision de mettre fin au diktat des gardiens de voitures en les remplaçant par des parcmètres, estimant que cette mesure pourrait entraîner le retour du « sabot ».
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