Myriam L’Aouffir et Dominique Strauss-Kahn
Ils avaient choisi de rendre publique leur relation en mai 2013, soit il y a plus de deux ans, en plein festival de Cannes, haut lieu de la mondanité. Depuis, selon Paris Match, ils ne se quittent plus. Décrite comme discrète, Myriam L’Aouffir est aussi une militante engagée dans le cadre de l’association « Juste pour eux », où elle intervient notamment au Maroc, son pays d’origine, dans le développement de l’éducation.
« Le touriste qui voyage dans les campagnes marocaines voit souvent des filles rassembler du bois ou bien surveiller des troupeaux de chèvres dans les campagnes. Derrière ces images de dépaysement se cachent des nécessités économiques, des destins familiaux et des talents qui demandent à s’épanouir. » écrit-elle dans une tribune pour le TedX.
Dans le cadre d’une opération de l’association qu’elle préside également, elle a lancé « Vélo pour elles » qui a accompagné 200 jeunes filles, des collégiennes et des lycéennes « individuellement et en tant que groupe » qui a permis à 75% d’entres elles de décrocher le Bac. Depuis la médiatisation de ce projet, la distribution des vélos a été prolongée par le ministère de l’Education nationale marocain et a touché plus de 200.000 jeunes.
Depuis l’officialisation de leur relation, le couple ne se quitte plus et il n’est pas rare de les voir à Rolland Garros ou même à la finale de la Coupe de France le 30 mai dernier. Concernant DSK, il n’a pas oublié ces racines marocaines puisqu’il a installé sa société Parnasse à Casablanca et se rend plusieurs fois par an à Marrakech et dans la métropole économique marocaine.